Le 12 mars 2025
Mis à jour le 10 mars 2025
L’inquiétude est présente dans l’histoire de la pensée depuis au moins l’"inquietum est cor nostrum" augustinien, et jusqu’à Günther Anders et au-delà, en passant par l’"inquiétante étrangeté" freudienne.
Il s’agira ici d’approfondir l’étude de la productivité de l’inquiétude dans la littérature. Nous comprendrons l’inquiétude à la fois dans sa dimension objective (par exemple les instabilités historiques) et dans sa dimension subjective (l’émotion ressentie par les individus). La littérature est un discours privilégié d’expression et de manifestation de l’inquiétude, le discours où la négativité de l’inquiétude se renverse en force positive de création et d’invention formelle.
"Inquiétude et identité dans l'œuvre romanesque d'Alain Farah" par Jean-Michel Gouvard (Université Bordeaux Montaigne) et en présence d’Alain Farah.
Contact : Eric Benoit (eric.benoit @ u-bordeaux-montaigne.fr) (unité de recherche Plurielles)
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