Bacchanight 7 : nocturne au Musée des Beaux-arts, une soirée par et pour les étudiants ! - Université Bordeaux Montaigne

Culture - Spectacle vivant

Bacchanight 7 : nocturne au Musée des Beaux-arts par et pour les étudiant·e·s

Cette soirée festive et innovante s’inspire des bacchanales, ces fêtes données en l’honneur du dieu du vin Bacchus. Plus précisément, il s’agit d’une nocturne réalisée par et pour les étudiants… ouverte à tous les curieux ! Danse, musique, sciences, arts, littérature, digital, œnologie… Cette année encore toutes les disciplines sont invitées à se déployer dans l’aile nord du musée. Entrée libre / ouvert à toutes et tous.

Mardi 29 mars 2022, de 20h à minuit

Musée des beaux-Arts de Bordeaux

Au programme, des événements ponctuels et en continu dans le musée et le Jardin de la Mairie : danse, cirque, musique lyrique, musique électronique, déambulation théâtralisée, exposition de photographies, de BD, de masques et broderies, dégustation de vins, jeux sur smartphone…

Une nuit culturelle ouverte à tous

Des étudiant·es de l'Université Bordeaux Montaigne y présenteront leurs créations

 

  • Élise Hardy étudiante en master 2 communication et générations études des publics avec son groupe présentent le projet de cirque Mesdames : Porté par la musique "Mesdames" de Grand Corps Malade, ce numéro questionne la place de la femme et son statut dans nos sociétés. En écho aux diverses représentations féminines présentent dans l'art pictural du musée, ce numéro porte un message engagé où le corps et la musique deviennent nos moyens d'expression.

 

  • Nicolas Salgado, étudiant en master de Philosophie avec le groupe "Matchpoint" proposent le projet Électrodes : une représentation musicale autour des thèmes du romantisme dans la peinture et la sculpture. Ce projet souhaite faire revivre les tableaux du XIXe siècle dans une ambiance sonore très intime combinée à un jeu de lumière sensible afin de mettre en relief les thèmes abordés dans leurs compositions ainsi que dans les œuvres choisies : La Grèce sur les ruines de Missolonghi et La Chasse aux lions de Delacroix, Mozart expirant de Carnielo. L’identité émotionnelle, la mélancolie, les sentiments mais aussi le passage du temps et de l’histoire ainsi que le rêve sont les thèmes abordés dans leurs morceaux, reflétant l’idée de l’électrode qui déchiffre nos secrets les plus profonds.

 

  • Hamza Alabou étudiant en master Design : Clairvoyance est un projet de collages-photos dans lequel se combinent différentes parties du corps humain avec des éléments de la nature et des objets du quotidien. Ces collages transmettent un message d'amour et de beauté. Ces créations émergent des pensées de l’étudiant et de son regard sur la vie, et prennent forme une fois rassemblées. Clairvoyance aussi le reflet d’une passion pour l'art, la philosophie et la nature. Cette exposition de collages relève d’une envie humaniste ; le partage d'une culture commune devient une nécessité face à l'impact de la situation sanitaire sur le monde de la culture.

 

  • Marina Delaveau, étudiante en licence 2 Lettres, avec son groupe de théâtre, ils ont créé leur projet Contes des Presque Fins du Monde : deux personnages racontent une rencontre extraordinaire avec une force de la nature qui les a poussés et remotivés à agir contre le dérèglement climatique. Ces histoires prennent la forme de contes, chaque conte étant porté par un·e comédien·ne. Les Contes des Presque Fins du Monde, c'est l'histoire de Tom et Lara, des jeunes ordinaires, qui ont chacun vécu une situation extraordinaire où des forces de la nature se sont éveillées pour leur envoyer un signal d'alerte ou une piste d'action face à la décadence environnementale ambiante. Ce sont ces aventures qu'ils viennent raconter au public ! Dans chacun des textes, on explore ce que peut la parole, comment la parole peut être action. Avec Les Contes, face au dérèglement climatique, à une sixième extinction de masse et à tout ce qui nous attend, se posent les questions suivantes : que peuvent les histoires ? des histoires qui ne sont "même pas vraies" qui plus est ?

 

  • Hélène-Anaïs Ndombi étudiante en master 2 édition, critique de la bande-dessinée avec  son projet MUSB(d’)A propose une (ré)découverte par le dessin de six œuvres du musée : Les quatre évangélistes de Wolfaerts, Autoportrait de Moya, Portrait de la princesse Frédérique Louise Wilhelmine d’Orange-Nassau de Tischbein, Une scène de la Saint-Barthélémy – Valentine et Raoul de Roqueplan, Rolla de Gervex ou encore Les Bas noirs de Bonnard, à travers de courtes bandes dessinées assurant une médiation originale des œuvres par le prisme d’un dessin doux et humoristique.

Programme complet sur le site du Musée des Beaux-arts

L'événement Facebook et le compte Instagram du musée.

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