Le 10 mars 2015
Mis à jour le 7 avril 2015
À l’occasion des journées internationales des droits des femmes, l'Université Bordeaux Montaigne organise plusieurs manifestations pour affirmer son engagement en faveur de l'égalité femmes - hommes.
Salle des Actes de l’Université Bordeaux Montaigne
En présence d’Agnès Netter, cheffe de la mission de la parité et de la lutte contre les discriminations, Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, d’Anne Pépin, directrice de la Mission pour la place des femmes au CNRS et d’Isabelle Kraus, présidente de la Conférence des chargé.e.s de mission parité égalité diversité à l’université.
Cette signature sera suivie d’une présentation des principales actions entreprises dans le domaine de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations menées depuis 2013 à Bordeaux Montaigne :
Télécharger la charte égalité entre les femmes et les hommes
À lire : 66% d'étudiantes à l'Université Bordeaux Montaigne, l'infographie
Deux tables rondes sont organisées conjointement par Marion Paoletti, chargée de mission égalité femmes hommes à l’université de Bordeaux et par Yves Raibaud, chargé de mission égalité femmes hommes à l’Université Bordeaux Montaigne.
Partout dans le monde, les femmes sont en moyenne plus petites que les hommes. Même chez les Européens du Nord, qui sont actuellement les plus grands du monde, leur taille est inférieure à celle des hommes d’une quinzaine de centimètres environ. Les spécialistes de la question nous racontent une histoire inédite, au carrefour de la biologie, de la médecine, de la paléoanthropologie et de la sociologie. Ils retracent leurs découvertes sur l’évolution qui, pour une fois, mettent les femmes sur le devant de la scène.
Suivie d’une table ronde en présence de :
Débat animé par Sandrine Rui, sociologue, directrice du collège Sciences de l’Homme de l’université de Bordeaux.
L’année 2015 marque le quarantième anniversaire de la loi Veil. Pour autant les problèmes sont loin d’être réglés : le scandale sanitaire des pilules de 3° et 4° générations (des centaines d’embolies pulmonaires, des milliers d’accidents et au moins 20 décès par an) met sur le devant de la scène les réticences institutionnelles à d’autres formes de contrôle des naissances que la contraception orale féminine. Elle interroge une société qui ne s’est jamais souciée de la responsabilité des hommes dans la reproduction et le contrôle des naissances : inexistence des recherches sur la contraception masculine, disparition de la vasectomie dans la plupart les hôpitaux et cliniques privés et publics.
En présence de :
Débat animé par Maguy Maruejouls, féministe, vice-présidente de l’Union régionale des centres d’information des droits de la femme et de la famille (URCIDFF), Bordeaux.