La coopération hors Europe - Université Bordeaux Montaigne
La coopération hors Europe
Depuis de nombreuses années, certaines actions du programme Erasmus+ permettent de financer des activités et des partenariats avec des pays en dehors de l'Union Européenne. L'Université Bordeaux Montaigne répond chaque année à différents appels à projets dans le cadre du programme européen :
- Les projets de Mobilité Internationale de Crédit (MIC, ou KA171) : permettent d'effectuer une mobilité en dehors de l'UE grâce à des crédits Erasmus+, ou de recevoir des étudiants et personnels en provenance de pays partenaires.
- Les projets de Renforcement des capacités (Capacity Building, ou KA220) : contribuent à l’amélioration de compétences des individus et de renforcement institutionnel d’une ou plusieurs organisations.
La mise en place des accords de coopération internationale
Toute activité de dimension internationale à l'Université Bordeaux Montaigne passe en premier lieu par la signature d'un ou plusieurs accords de coopération, afin de :
- recevoir et faire partir des étudiants, enseignants-chercheurs et personnels administratifs en mobilité à l'étranger
- encourager la participation à des projets de coopération internationale
- renforcer les liens entre les territoires où s'inscrivent les établissements partenaires
Si vous souhaitez élaborer un projet de partenariat ou effectuer une mobilité, pour mieux localiser ou identifier un accord cadre ou spécifique existant, consultez la base de données des coopérations internationales de l'établissement.
Si vous souhaitez mettre en place des accords de coopération avec un nouvel établissement à l'étranger et ainsi en devenir le coordinateur ou la coordinatrice, contactez l'équipe du Pôle Coopération de la Direction des Relations Internationales (cooperation-internationale @ u-bordeaux-montaigne.fr).
Des modèles d'accords cadre et spécifique (mobilité étudiante/enseignante) sont disponibles en plusieurs langues : français, anglais, espagnol, portugais, italien, allemand, russe, chinois et japonais.
N.B. : chaque accord devra nécessairement exister en version française.
