Ses réseaux de recherche - Université Bordeaux Montaigne

Ses réseaux de recherche

  1. La/les francophonie/s ne recouvre pas simplement des pays pratiquant la même langue, mais aussi des dynamiques artistiques et culturelles, des liens de coopération économique et politique : ainsi, "l'objet francophone" se trouve à la croisée de nombreux champs de connaissance et d'activité, notamment en Nouvelle-Aquitaine.

    L'université Bordeaux Montaigne coordonne le projet de Réseau Néo-Aquitain de Recherche sur les Francophonies (FrancophoNéA) amorcé et soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine d’octobre 2019 à août 2021. Depuis, en phase de consolidation pour quatre ans, FrancophoNéA est un réseau de recherche interdisciplinaire sur les francophonies analysées comme objet de recherche principal, comme thématique ou comme angle d’approche. Il s'appuie sur les travaux et expertises de plus de 40 unités de recherche des 6 universités de la région dont les Présidents ont signé une convention cadre : universités Bordeaux Montaigne, Bordeaux, La Rochelle, Limoges, Poitiers et Pau et Pays de l’Adour. Le réseau implique également des acteurs et partenaires académiques, institutionnels, culturels et économiques en Nouvelle-Aquitaine : festivals, associations, représentations étrangères, etc..

    Il s’organise autour de 5 axes de recherche, déclinant les grands défis sociétaux et enjeux pour la collectivité en termes de développement culturel et économique :

    • Francophonies des transferts,
    • Francophonies culturelles et créatives,
    • Francophonies numériques,
    • Francophonies et développement durable,
    • Francophonies, éducation et plurilinguisme.

    Objectifs du projet :

    • structurer la recherche néo-aquitaine autour des enjeux francophones,
    • produire et diffuser des connaissances scientifiques autour des francophonies,
    • créer des liens entre les acteurs néo-aquitains de la recherche et des milieux socio-économiques autour de projets,
    • favoriser l’émergence et la réalisation de projets de recherche pluridisciplinaires communs en lien avec l’objet « francophonie »,

    • soutenir l’internationalisation de la recherche en Nouvelle-Aquitaine par les travaux sur les francophonies,

    • concevoir, organiser ou contribuer à la réalisation de colloques, journées d’études ou autres manifestations scientifiques autour des francophonies,
    • promouvoir les échanges avec les centres universitaires nationaux et étrangers travaillant sur des projets similaires et faciliter l’accueil et la circulation d’intellectuels, écrivains et chercheurs francophones en Nouvelle-Aquitaine,
    • favoriser les réponses concertées à des appels d’offres dédiés aux thématiques précitées, du type projets IdA, ANR ou autre

    Site web du projet FrancophoNea
    chaine YouTube
    Twitter

    Contacts : M (omar.fertat @ u-bordeaux-montaigne.fr)Omar Fertat ; Réseau FrancophNéA (reseau-francophonie @ u-bordeaux-montaigne.fr)

  2. L’université Bordeaux Montaigne est associée aux côtés des universités de Bordeaux, de la Rochelle, de Limoges, de Pau et des Pays de l’Adour au premier réseau de recherche régionale en Nouvelle Aquitaine sur la bande dessinée porté par l’université de Poitiers. Le réseau comprend aussi la Cité Internationale de la Bande dessinée et de l’Image, l’École Européenne Supérieure de l’Image, Magelis et de l’Espace Mendès-France, devenu le promoteur de la culture scientifique. Ce réseau, unique en France, permettra, pour la première fois, d’assurer la pleine visibilité de la bande dessinée comme objet d’intérêt à la fois pour les sciences humaines, les sciences sociales et les sciences fondamentales. Le réseau est piloté par la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société de Poitiers.

    Participent des littéraires, des historiens, des historiens de l’art, des psychologues, des informaticiens, des psychologues, des enseignants à l’ESPE, des médecins biologistes, sans oublier les acteurs des sciences de la gestion…

    Le réseau BD comprend quatre axes principaux : la lecture, la compréhension et les interactions en mobilisant aussi bien les connaissances apportées par l’oculométrie que les observations sur l’efficacité de communication et l’expérience de lecture; les écritures transmédiatiques et plus particulièrement les circulations et les transformations de la BD jeunesse ; les enjeux sociétaux en portant attention à la question des auteurs, à la place des femmes, au traitement de certaines maladies, à la sécurité environnementale ; les questions de BD et de la transmission en privilégiant l’enseignement des sciences mais aussi à l’éducation (y compris la E-education

    À l’université Bordeaux Montaigne, s’est spécifiquement développé un pôle de recherche et de formation trandisciplinaire en illustration dans les unités de recherche AMERIBER, CLIMAS, MICA, Plurielles.

    Les membres de ce réseau pour l’université Bordeaux Montaigne : Jessica de Bideran (jessica.de-bideran @ u-bordeaux-montaigne.fr), Florence Plet (Florence.Plet @ u-bordeaux-montaigne.fr),  Hélène Camarade (Helene.Camarade @ u-bordeaux-montaigne.fr), Jean-Paul Gabilliet (Jean-Paul.Gabilliet @ u-bordeaux-montaigne.fr), Nicolas Labarre (nicolas.labarre @ u-bordeaux-montaigne.fr), Isabelle Touton (isabelle.touton @ u-bordeaux-montaigne.fr),  Julien Baudr (julien.baudry @ u-bordeaux-montaigne.fr)y

  3. R3 RIVAGES, un réseau de recherche engagé face aux perturbations naturelles et anthropiques du littoral en Nouvelle-Aquitaine en phase de consolidation depuis 2023

    Les littoraux, qui concentrent près de la moitié de la population mondiale, constituent une préoccupation majeure de nos sociétés. A l’échelle de la Nouvelle-Aquitaine, la bande côtière est constituée d’une diversité de systèmes : plages sableuses, côtes rocheuses, baies, estuaires, zones humides adjacentes.

    C’est pourquoi, le Réseau Régional de Recherche « RIVAGES » (Risques et Vulnérabilité pour l’Adaptation et la Gestion du littoral en Nouvelle-Aquitaine) s’est dédié à la dynamique physique et aux enjeux sociétaux, en particulier, des littoraux aquitains face aux perturbations naturelles et anthropiques.

    • Établissement porteur : OASU pour l’université de Bordeaux
    • Coordinateur scientifique : Aldo Sottolichio, OASU
    • Partenaires : La Rochelle Université, Université de Poitiers, UPPA, Université Bordeaux Montaigne, UB, INRAE, CNRS, BRGM

    À l’université Bordeaux Montaigne les UMR Passages (Solange Pupier (Solange.Pupier @ u-bordeaux-montaigne.fr)) et Ausonius (Florence Verdin (florence.verdin @ u-bordeaux-montaigne.fr)) sont impliquées dans le réseau

  4. En 2021 est créé le réseau 3R en intelligence artificielle, forme aboutie du numérique. En effet l’intellignece artificielle est devenue un enjeu majeur des politiques de développement territorial à travers ses implications en matière de formation, recherche et innovation. La Nouvelle-Aquitaine compte des acteurs académiques et économiques de premier plan sur ce sujet.

    Le réseau se conçoit comme une fédération informelle de chercheurs et chercheuses concernés par l’Intelligence Artificielle et désireux de travailler ensemble

    Les sujets traités relèveront du cœur de l’IA, de son intégration à d’autres technologies, de son application dans des domaines particuliers, et de son étude en tant que construction socio-technique. Le périmètre du réseau sera évolutif

    Le réseau mettra en place et coordonnera avant tout un ensemble cohérent d’actions visant à faire émerger de nouvelles collaborations de recherche dans le domaine de l’Intelligence Artificielle et contribuant à renforcer les stratégies des établissements impliqués.

    Établissement porteur : Université de Bordeaux
    Coordinateur scientifique : Simon Laurent, LaBRI
    Partenaires : UB, UBM, Université de Limoges, UPPA, Université de Poitiers, La Rochelle Université, Bordeaux INP, Bordeaux Sciences Agro, Arts det Métiers, ESTIA, Kedge, CEA, CNRS, Ifremer, Inrae, Inria, Inserm

    Impliqués de l’université Bordeaux Montaigne : Alain Kiyindou (alain.Kiyindou @ u-bordeaux-montaigne.fr), Amar Lakel (amar.lakel @ u-bordeaux-montaigne.fr), MICA ; Cédric Brun (cedric.brun @ u-bordeaux-montaigne.fr), SPH

  5.  Biosena mobilise l’ensemble des forces régionales académiques, socio-économiques et sociétalesconcernées par la préservation de la biodiversité et la fourniture de services écosystémiques. Son objectif est de structurer les actions dans ce domaine, en mettant en réseau des chercheurs de Nouvelle-Aquitaine, soutenant les initiatives qui naissent de ces nouvelles connexions, favorisant l’émergence de groupes disciplinaires, accompagnant des projets scientifiques, organisant des rencontres, stimulant les échanges entre acteurs, et mettant en place des analyses et études de cas dédiées dans le cadre opérationnel de projets de recherche-action.

    Établissement porteur : La Rochelle Université
    Coordinatrice scientifique : Pascale Garcia, LIENSs
    Partenaires : CNRS, INRAE, Bordeaux Science Agro, Ifremer, INRIA, Sciences Po Bordeaux, UB, UBM, Université de Poitiers, Université de Limoges, UPPA, FREDD, ECOBIOSE

    Impliqués de l’université Bordeaux Montaigne : Rémi Bercovitz, Emmanuelle Bonneau, Sébastien Clément, Laurent Couderchet, Bernard Davasse, Sylvain Guyot, Emmeline Labry, Carole Marin – UMR Passages

  6. En février 2020, le Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine a approuvé la création du R3 Futurs-ACT. La création du R3 Futurs-ACT sur l’Anticipation des Changements Climatiques dans les Territoires en Transition découle des travaux et des initiatives continues d’AcclimaTerra. Depuis 2011, le Comité Scientifique Régional sur le Changement Climatique, devenu AcclimaTerra en 2015, synthétise les connaissances scientifiques concernant l’impact des changements climatiques à l’échelle de la région Nouvelle-Aquitaine. Futurs-ACT correspond au souhait d’élargir les initiatives d’AcclimaTerra afin de promouvoir la recherche sur l’adaptation aux changements climatiques à l’échelle régionale.

    Futurs-ACT se fixe pour objectif de faire émerger des projets de recherche et de recherche-action visant à :

    • Caractériser les impacts dans une perspective d’évolution future
    • Co-construire des scénarios d’adaptation aux changements climatiques
    • Explorer et expérimenter des trajectoires pour préparer des futurs souhaitables
    • Favoriser l’inclusion des habitants et l’interface science-société dans la démarche
    • Faciliter les changements d’échelle (des prospectives globales aux prospectives territoriales)
    • Privilégier des savoirs pour l’action, mobilisables par les citoyens, les acteurs socio-économiques et les décideurs publics

     

    Établissement porteur : université de Bordeaux. Coordinateurs scientifiques : Benoït Sautour , EPOC ; Denis Salles, INRAE
    Partenaires : UB, INRAE, UBM, UPPA, Université de Limoges, Université de Poitiers, Sciences Po Bordeaux, La Rochelle Université, CNRS, BRGM, Arts et Métiers, Bordeaux Siences Agro, Bordeaux INP, Ifremer, INSPE

    L’université Bordeaux Montaigne est impliquée par ses unités de recherche MICA (Stéphanie Cardoso (stephanie.cardozo @ u-bordeaux-montaigne.fr)), Passages (Sandrine Vaucelle (sandrine.vaucelle @ u-bordeaux-moontaigne.fr)), Ausonius (Florence Verdin (florence.verdin @ u-bordeaux-montaigne.fr))

  7. Le R3 TESNA s’inscrit dans les actions de la feuille de route stratégique de NéoTerra, dédiée à la transition énergétique et écologique de la Région Nouvelle-Aquitaine. Le R3 TESNA se positionne sur le modèle énergétique de demain : les réseaux multi-énergies bas carbone et multi-échelles. Articulé en 5 axes, les nouvelles technologies de l’énergie (NTE), productions et conversions multiples délocalisés et couplages, le transport et le stockage de l’énergie, le pilotage et la gestion des flux en temps réel, l’efficacité énergétique et la réduction du gaspillage, les liens avec le territoire, ce réseau pluridisciplinaire rassemble des compétences sur les matériaux, les procédés, les mathématiques, l’électronique, la chimie, la physique, la géologie l’intelligence artificielle, les sciences sociales, le droit, l’économie, la géographie, l’histoire…

    Établissement porteur : Université de Pau et des Pays de l’Adour
    Coordinateur scientifique : Pierre Cézac, IPRA-LaTEP
    Partenaires : CNRS, ICMCB, I2M Bordeaux INP, UB, UBM, Université de Poitiers, Université de Limoges, La Rochelle Université

    référents université Bordeaux Montaigne : Chaire RESET, Stéphanie Le Gallic (stephanie.le-gallic @ u-bordeaux-montaigne.fr) (CEMMC)

  8. Le Réseau Régional de Recherche sur l’Humain Recomposé et Reconstruit en Santé (HR2S) a été fondé en février 2022. Ce réseau appartient aux Réseaux Régionaux de Recherche (R3) créés par la région Nouvelle-Aquitaine et il est actuellement coordonné par l’Université de Poitiers. Après une étape de structuration, le réseau est en phase de consolidation depuis l’été 2024.

    Ce réseau propose une approche multidisciplinaire et transdisciplinaire structurante où sont regroupés des spécialités de la bio-ingénierie, des matériaux, de la biologie, de la chimie, de la physique, de la clinique et des sciences humaines et sociales pour développer de nouveaux outils (modèles cellulaires, organoïdes et sphéroïdes…).

    Le R3 HR2S développera et stimulera des collaborations étroites entre partenaires publics et privés pour faire émerger de nouveaux projets de recherche sur la réparation de l'Homme et donc accroître la notoriété de la région Nouvelle-Aquitaine dans ces domaines.

    • Axes de recherche

    Axe 1 – Nouvelles technologies pour la santé : Image, IA, Mécanique et Matériaux

    Axe 2 – Explorations physiopathologiques innovantes : Explorations, Modèles, Thérapies et Evaluations

    Axe 3 – Approches translationnelles globales : Réparation et Restauration multidimensionnelle, Applications cliniques

    Axe 4 – La personne, ses environnements et enjeux sociétaux de la santé

    Établissement coordinateur : Université de Poitiers
    Coordonateurs scientifiques : Thierry Hauet, Professeur de Biochimie et Biologie moléculaire et Noël Richard, enseignant-chercheur en Analyse d’Images 
    Partenaires : Université de Bordeaux, Université Bordeaux Montaigne, La Rochelle Univ, Université de Pau et des Pays de l'Adour, Université de Limoges

    Sont impliqués dans ce réseau pour l’université Bordeaux Montaigne : David Pucheu (david.pucheu @ u-bordeaux-montaigne.fr), MICA et Cédric Brun (cedric.brun @ u-bordeaux-montaigne.fr), SPH

  9. La recherche française joue un rôle majeur dans l'amélioration de la gestion et l'usage des mobilités sur les territoires. En Nouvelle-Aquitaine, nombreux sont les acteurs qui travaillent directement ou indirectement sur les thématiques liées aux mobilités innovantes. La région est ainsi pionnière en matière d'innovation sur ces questions. Porté par Bordeaux INP et soutenu par la région Nouvelle-Aquitaine, le réseau de recherche R3 Nouvelles Mobilités a vocation à fédérer l’ensemble des forces académiques sur les sujets pluridisciplinaires ayant trait aux nouvelles mobilités et d’accélérer le transfert des résultats de recherche vers la société.

    La gestion et l’usage des transports et des nouvelles mobilités sont des enjeux cruciaux pour nos sociétés actuelles, tant du point de vue stratégique, technologique, économique, social, qu’environnemental. Ils concernent de nombreux acteurs (privés, publics), de nombreux types de déplacements (domicile-travail, déplacements professionnels, mobilité́ touristique, transport des marchandises...) réalisés à différentes échelles spatiales et dans des espaces géographiques variés (urbains et ruraux). Repenser la mobilité des territoires à travers une meilleure qualité des services, c’est répondre à des questions technologiques, sociales, économiques, politiques, juridiques, écologiques et humaines. Avec les apports du numérique, couplés à de nombreuses autres thématiques, la gestion et l’usage des mobilités peuvent être repensés, optimisés, fluidifiés, personnalisés, adaptés selon le contexte, et surtout anticipés. A terme, il s’agit de mettre en place un véritable creuset d’interactions entre acteurs de la recherche publique, besoins et préoccupations de la société civile et le tissu industriel, afin de créer un potentiel de compétences visibles sur la mobilité du futur alliant recherche, formation et transfert.

    Le réseau va poursuivre trois objectifs :

    • Coordonner les forces académiques sur le thème des « nouvelles mobilités » pour favoriser le développement de projets transversaux innovants. Faire évoluer les formations sur les systèmes de transports intelligents au plus près des besoins du terrain afin de disposer de ressources humaines opérationnelles sur ces sujets.
    • Développer des coopérations sur le long terme entre académiques et entreprises de la filière STI (projets structurants, thèses, Postdoc, ANR, Horizon Europe, PIA) afin d’accélérer le transfert de connaissances.
    • Favoriser la mise en oeuvre de zones d’expérimentations pilotes dans les territoires, afin d’identifier en situation réelle les apports concrets des travaux de recherche sur les STI, de les challenger, d’identifier les axes d’amélioration et in fine accélérer les déploiements à grande échelle.

    coordinateur scientifique : Cédric Ferrero, Bordeaux INP
    pilotes : Mohamed Mosbah, université de Bordeaux et Yacine Ghamri-Doudane, La Rochelle Université
    partenaires : Bordeaux INP, UB,ENSAM, UBM,UPPA, UNILIM, UP, ENSMA, LR Univ, CNRS, INRIA, KEDGE BS, Univ Eiffel, ESTIA, EIGSI, CESI, Science Po Bx, ENSAP

    Sont impliqués dans le réseau pour l'université Bordeaux Montaigne : Patrice Tissandier (patrice.tissandier @ u-bordeaux-montaigne.fr), Passages et Olivier Le Deuff (Olivier.LeDeuff @ iut.u-bordeaux-montaigne.fr), MICA

  10. Dans plusieurs disciplines, il existe un riche corpus de littérature, de données et de techniques permettant aux chercheurs d’analyser les comportements, les objectifs et les conséquences des acteurs impliqués dans la prise de décision politique.

    Le nouveau réseau 3R Légitimation des Politiques Publiques, dont le portage administratif est assuré par l'Université Bordeaux-Montaigne, a pour but de favoriser la rencontre et l'échange entre acteurs régionaux de la recherche autour des comportements, des objectifs et des conséquences des choix des acteurs et des bénéficiaires de la prise de décision politique, notamment sous l'angle émergent de la légitimation de l'action publique. En effet plutôt que de se focaliser sur la seule acceptabilité sociale des politiques et des réponses aux enjeux des transitions environnementales et sociétales, le réseau propose d'aborder le sujet central de leur légitimation en développant et promouvant une approche globale de l'ensemble de la chaîne de valeur d'une politique publique : des modalités de sa conception jusqu'aux mesures de ses impacts, en passant par sa mise en œuvre et sa réception. 

    Ce réseau vise à éclairer l’action publique et, ce faisant, à alimenter l’état de l’art sur cette question. La constitution de ce réseau ainsi que le travail mené dans ce cadre se veut résolument interdisciplinaire.

    Coordinateurs scientifiques : Andy (a.smith @ sciencespobordeaux.fr) (a.smith @ sciencespobordeaux.fr)SMITH (a.smith @ sciencespobordeaux.fr) – DR – Centre Émile Durkheim (CED) – Sciences Po Bordeaux – Université de Bordeaux
    Liliane BONNAL (liliane.bonnal @ univ-poitiers.fr) – PR –Laboratoire d’économie de Poitiers (LéP) – Université de Poitiers
    Coordinatrice du Réseau : Astrid de Ramecourt (astrid.dambrines-de-ramecourt @ u-bordeaux-montaigne.fr)
    Partenaires : MSH Bordeaux, MSH Poitiers, Université Bordeaux Montaigne, Université de Bordeaux, Sciences Po Bordeaux, Bordeaux INP, CNRS, Réseau des Maisons des sciences de l’homme

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