Mis à jour le 29 avril 2015
Cité par Télérama parmi les 10 écrivains à suivre sur twitter, Clément Bénech est également étudiant en 2e année de master recherche en études littéraires à l’Université Bordeaux Montaigne.
À tout juste 24 ans, il collabore avec le journal Libération (lire son article « Booba, faim de reparties ») et publie un 2e roman chez Flammarion.
« Lève-toi et charme » fait déjà l’objet de nombreux articles enthousiastes dans la presse.
Dix tweets de suite à la manière de l'Autoportrait de Levé, pour @UBMontaigne.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
À Bordeaux, j’habite avec un chat, et une plante verte.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
J’aime Breton, Chevillard, Proust, Laurens, Pireyre, Sebald, Toussaint, Modiano, Kundera, Wilde, Alain, Cioran, Rimbaud, Mallarmé, Gracq.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
L’intelligence m’impressionne, l’érudition me laisse de marbre.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Je n’ai jamais affublé mon chat de vêtements ridicules ; mais, comme dirait mon père, la semaine n’est pas finie.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Je préfère Oxmo Puccino à Flaubert.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Sujets qui me préoccupent : l’absolu, la frontière, l’apanage, le réel, les schèmes, l’image, l’exotisme, le médium, le tourisme.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Des trois hommes politiques que je supporte, l’un est une femme.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Mon basketteur préféré est Richard Jefferson, il change de franchise chaque année en espérant avoir le titre.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Mon plus grand plaisir est de déciller.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
Pendant longtemps, je fuyais les bibliothèques, qui m’étouffaient par leur abondance. Aujourd’hui, je m’y sens comme un poisson dans l’eau.
— Clément Bénech (@ClementBenech) 28 Avril 2015
L’histoire : Mis sous pression par son directeur de thèse pour avancer plus rapidement, le narrateur décide de quitter Paris pour Berlin, le temps de se mettre au travail. Entre les promenades, son chat et ses déménagements, il ne parvient pourtant pas à se concentrer. Un jour, il rencontre Dora, une jeune fille qui le fascine.
Dans les médias :
Chronique d'Éric Chevillard dans le Monde des livres - Le paradoxe du Ping Pong
Émission Télématin du 28 avril 2015
Article d'Isabelle Bunisset paru dans Sud Ouest - La fantaisie allègre
À propos de son premier roman paru en 2013 « L’été slovène »
Article de Michel Abescat dans Télérama
Entretien avec l’écrivain Olivier Steiner dans le Huffigton post
Après des études en allemand et en lettres, une année à Berlin en Erasmus, puis un bref passage par l’Institut de journalisme de Bordeaux Aquitaine, Clément Benech termine actuellement sa 2e année de master recherche en études littéraires à l’Université Bordeaux Montaigne.
Pour son mémoire de master, il s’intéresse à l'écrivain et photographe Edouard Levé, et à travers lui à la question de l'épure : « Comment, en effet, peut-être érigé en valeur un principe qui tend vers le silence, donc le contraire de la littérature ? Mais l'art n'est pas à un paradoxe près, comme on le sait. »
Suivez Clément Bénech sur twitter @ClementBenech
Propos recueillis par le service communication.